A propos du Catalan Valls et du Destin de la Ve République
Les clignotants du scénario prémonitoire de Dali se sont allumés !


La déroute des socialistes aux élections municipales de mars 2014 a conduit le président de la République à congédier Jean-Marc Ayrault et à nommer Manuel VALLS à Matignon. Le 1er avril 2014, l’ambitieux ministre de l’Intérieur est devenu 1er Ministre du gouvernement de la France. Voilà que se met en marche la dynamique du redoutable scénario prémonitoire révélé par le peintre-visionnaire Salvador Dali. Les signes sont clairs et éloquents :



1° Né en 1962 à Barcelone, Manuel Valls est d’origine catalane, comme Salvador Dali. Son père Xavier Valls (1923-2006), fut artiste-peintre, comme Dali. L’essentiel des carrières artistiques des deux Catalans s’est déroulé à Paris. Il s’agit de deux itinéraires atypiques.

2° La composition du «gouvernement de combat» resserré dirigé par Manuel Valls a vu le retour en force de Ségolène Royal, dont le code signalétique figure dans le tableau révéla-teur du «Mystique de la gare de Perpignan» (Dali, 1965). Sur la porte arrière du fameux «Wagon de Dali», le surréaliste inspiré a inscrit le code chiffré 229 CL 66, qui correspond à la date de naissance de Ségolène Royal – 22 septembre 1953 – et aussi à la fondation de la 1ère République, le 22-9-1792, suite à l’abolition de la monarchie ! Le message est précis.



3° A ces indices révélateurs, il faut ajouter les particularités professionnelles de l’épouse de Manuel Valls, Anne Gravoin, qui est violoniste, premier prix de violon et de musique de chambre du Conservatoire de Paris. On connaît le poids des instruments de musique dans le symbolisme révélateur de la peinture dalinienne : pianos à queue, harpes, violons et violoncelles (qui correspondent à la configuration de l’anatomie féminine).

La Série des Catastrophes (Dali, 1983).

A la fin de sa longue carrière artistique, le peintre usé (âgé de 79 ans) a créé une étrange série de toiles, consacrées au phénomène des catastrophes. Les œuvres sont de facture assez médiocre, mais manifestement le fruit d’une forte intuition paranoïaque-critique. Ce qu’il y a de symptomatique dans ces créations tardives, réalisées en 1983, c’est qu’une dizaine de ces images tordues est dédié à des violons ou violoncelles et marqué de titres aussi bizarres que «Guerrier sur un éléphant terrassant un violoncelle», «Etude pour le président et table de chevet attaquant férocement un violoncelle». Le président socialiste «apparaît à l’image».



La plus importante toile de la «Série des Catastrophes» s’appelle «Enlèvement topologique d’Europe». En clair, cela signifie : rupture de l’Union européenne ou effondrement de l’€uro. Les signes inscrits par Dali dans ses tableaux prémonitoires sont des repères, qui réclament une interprétation. Ségolène Royal (la référence 229 CL – c’est elle !) est une figure-clef du destin présidentiel de son ex-compagnon François Hollande. La seconde épouse de Manuel Valls pratique le violon, synonyme de catastrophe dans la panoplie du symbolisme dalinien.

Ramenées au gouvernement de Manuel Valls et aux nouvelles réalités politiques françaises, des conclusions lucides s’imposent : Manuel VALS (né le 13 août 1962) et François HOLLANDE (né le 12 août 1954) sont deux faux jumeaux du signe du «Lion» embarqués sur un bateau ivre. Le 26 mars 2014, entre les deux tours des élections municipales, l’INSEE annonçait une nouvelle hausse du nombre des chômeurs. Avec 5.236.300 demandeurs d’emploi sans activité réelle, la France atteint un record historique du chômage. Au lendemain du 2e tour des élections, 31 mars 2014, Bercy a reconnu un nouveau dérapage du déficit public et de la dette. Avec 4,3 % du PIB, la France est loin du cap des 3 % promis à Bruxelles. La dette publique est de 1.925,3 milliards d’euros. La relance économique demandée par HOLLANDE à VALLS constitue un voeu pieux construit sur des chimères. La crise aura des prolongements chaotiques.

Info : Roger Erasmy, auteur du «Codex Dalianus» (Dali décodé) depuis 1984. ● www.erasmy-dali.com ● 8 avril 2014 .